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Les plantes d'appartement Bananier

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Description

Caractéristique du Bananier

Le bananier (Musa) est un genre des plantes tropicales de la famille Musaceae, couvrant selon les informations émanant de différentes sources, de 40 à 75 espèces. Ce sont les plantes herbacées vivaces. Oui-oui, les plantes herbacées, seulement très hautes (2-9 mètres et plus), ce qui a entrainé une habitude erronée répandue largement de les considérer comme les arbres, il y a déjà longtemps. (Il semble d'être logique, si l'on considère, par exemple, le géant de 12 mètres de haut de la variété Musa itinerans var. gigantea...)

Les vraies tiges de bananiers sont très courtes, elles ne sortent pas au-dessus du substratum. 6-20 feuilles poussent en faisceau de la tige. Leurs gaines longues (avec des pétioles) tissent dans une « tube » assez serrée et solide avec les parois multicouches, ressemblant à la tige et effectuant ses fonctions avant la période de la production. Après la production cette fausse tige creuse meurt (autrement dit toute la partie de la plante au-dessus du sol). En ce moment, autour de la tige à la base du collet de racine apparaissent les pousses latérales souterraines. Leur objectif est de donner le début aux nouvelles «tubes». Alors, c'est un changement de générations qui se fait.

La période de croissance active dure 8-10 mois. Ensuite c'est la période de floraison qui commence: du point «secret» de la tige courte (c'est-à-dire, de la tige vraie) apparait le pédoncule, il développe, s'allonge, perce «la tube» - et se montre à l'extérieur. La floraison peut également durer plusieurs mois. L'inflorescence représente une grappe allongée. Près de sa base se trouvent les grandes fleurs femelles (chez les bananiers cultivés elles sont souvent blanches), ensuite celles infécondes androgynes (moindres de dimension), à la fin - les petites fleurs masculines (d'habitude, elles tombent très vite). Seulement les fleurs femelles produisent. La grappe est capable de «donner naissance» à trois cents unités fruits (50-60 kg). Chacun ressemble à un doigt (3-40 cm de longueur, et 2-8 cm d'épaisseur), d'après sa structure normale la plante est une baie polyakène (en pratique, comprendre et accepter ce fait scientifique, n'est pas simple) avec une peau épaisse. «Les doigts» des plantes sauvages ont autant de semences, que leur poids total peut dépasser le poids de la chair. Les fruits des variétés cultivées sont souvent privés complètement des semences (donc, la multiplication ne peut être que végétative).

Le système racinaire des bananiers est développé, on dirait, de la manière très puissante: si le sol permet, elles peuvent aller dans la profondeur à 1,5 mètre, et sur les côtés - presque à 5 m. Mais ces dimensions ne sont pas suffisantes pour résister avec succès aux vents forts et aux pluies abondantes, et la Nature «a inventé» une contre-action: sous la pression des éléments atmosphériques les feuilles énormes molles déchirent facilement le long des nerfs, en réduisant considérablement la prise au vent des parties aériennes de plantes.

Lors de la période de végétation les jeunes feuilles (si les conditions météorologiques sont favorables - une par semaine) apparaissent à l'intérieur du fesceau, et les feuilles extérieures après avoir travaillé pour sa destination, sèchent et tombent. Avant leur mort leur longueur peut atteindre 275 cm, et la largeur 60 cm. La couleur peut être complètement verte, ou verte avec les taches bordeaux foncé, ou verte à l'extérieur et purpurine du-dessous. La nervation est parallèle. La facture est glisse.

L'aire d'origine du genre décrit est les îles mélanésiennes. Là les bananiers ont été remarqués encore dans les temps anciens comme «fournisseurs» des fruits comestibles. Les aborigènes non seulement accueillaient la récolte après la récolte pour les consommer de la manière parasitique, mais ils cultivaient consciemment ces plantes (même les sélectionnaient, selon les scientifiques actuels), ainsi que favorisaient leur distribution en voyageant par la mer sur les Îles du Pacifique, sur la côte du continent asiatique et en Australie. La première mention écrite des bananes- fruits est trouvée dans les sutras bouddhistes (les textes sacrés) d'Inde du Nord datés du VIIème- VIème siècles av. J.-C. En exécutant sa campagne indienne, il paraît, Alexandre le Grand a personnellement goûté le « délice » exotique et est resté en vie et heureux, et ensuite a pris une certaine quantité avec lui en Europe (peut-être, pour faire gouter par les proches pas très guerrières?). En deuxième moitié du VIIIème siècle ap. J.-C. les commerçants arabes ont fait découvrir les bananes par des habitants de Palestine et d'Afrique de l'Est. Quand en XVIème siècle les gens blancs ont commencé à explorer vivement l'Afrique de l'Ouest, pour la population locale ces plantes n'étaient pas inhabituelles. Après avoir su, qu'ils ne veulent pas s'acclimater dans les pays avec le climat tempéré, les Portugais et les Espagnols ont amené la «nouveauté» dans les zones tropiques du Nouveau Monde, les îles des Caraïbes, le Panama et plus au sud. Toutefois, en Amérique du Sud, comme disent certains experts, avant même l'arrivée des conquistadors les bananiers étaient bien connus: leurs feuilles (plus exactement: les restes de feuilles) sont découvertes dans les tombeaux des Indiens péruviens ...

Presque toutes ces histoires et petites histoires, comme vous pouvez le voir, portent principalement sur la valeur NUTRITIVE des herbes géantes du genre Musa. Tant plus majestueuse est la mérite du premier jardinier, qui a pu voir leur BEAUTE EXTERIEURE et a essayé, qu'ils soient reconnus en qualité des plantes à feuillage prnementales. Qui est-il, quel est son nom, quand il a fait son modeste "exploit"? - On ne trouve plus ces détails. Nous ne pouvons que constater qu'en Angleterre victorienne (XXIIème siècle) les propriétaires de serres et d'orangeries contenaient les bananiers sur les places d'honneur uniquement "pour la verdure". Maintenant, l'intérêt pour cette tradition revient peu à peu.

Pendant de nombreuses décennies, le nombre d'espèces aptes à la culture en qualité des «favoris» d'intérieur ou de pot, est défini par le chiffre 3:

- Musa acuminata, synonymes: Musa chinensis, Musa sapientum var. suaveolens, Musa sinensis. Il a fait ses preuves particulièrement bien, car sous le toit il est capable non seulement de fleurir, mais également produire (cependant, seulement 1 fois dans sa vie);

- Мusa ensete. Il n'y a pas longtemps la classification a changé, et il est reporté à une espèce séparée Ensete de la même famille Musaceae, où il y a encore 6 ou 7 espèces. La nomination a été changée également, désormais c'est Ensete ventricosum, mais il a encore un surnom rappelant du passé: «Bananier abyssinien»;

-Мusa basjoo. L'espèce la plus connue: elle prend son origine aux îles Ryukyu (Nancy) - et donc le plus résistant au froid. Il est cultivé sur la côte de la mer Noire de Crimée, au Caucase russe, en Géorgie. Si on protège les racines contre le froid, il peut supporter les brèves gelées. Ce faisant la partie aérienne meurt, mais au printemps les jeunes feuilles arriveront très vite, et 5 mois plus tard la plante de nouveau sera un beau vert luxueux à 4 m de haut.

Actuellement le choix s'est beaucoup élargi:

- Musa balbisiana, son autre nomination est le Bananier fruitier. La fausse tige peut atteindre 8 m de haut. Les dimensions des feuilles sont 3 × 0,6 m. La longueur des pédoncules est à 1 m, et des fruits jaunes sucrés - 7-15 cm;

- Musa banksii. La hauteur de la fausse tige est à 4 m. La longueur des feuilles est à 1,5 m. Les fleurs sont roses;

- Musa velutina n'est pas grand: sa hauteur maximale est 1,3 m. Il donne les fleurs jaunes 1 fois dans sa vie, les fruits suivants sont attractives de l'extérieur, mais pas comestibles;

- Musa nana, sa deuxième nomination est Musa cavendishii. La longueur de la fausse tige est un mètre et demi - deux mètres;

-Musa maurelli. Il pousse vite, sallonge en hauteur à 3-4 mètres. La couleur des feuilles est normale verte, et inhabituelle rouge;

- Musa ornata et son synonyme Musa rosacea. Il est connu par ses fleurs violet jaune et orange;

- Musa mannii. Les dimensions maximales des feuilles, d'où la fausse tige se crée - (60-80) × 20 cm. Soi-disant les feuilles «cachant», protégeant l'inflorescence, sont rouges;

-Musa ×paradisiaca). La nomination a beaucoup de synonymes soit en latin Musa dacca; Musa ×paradisiaca subsp. sapientum; Musa ×paradisiaca var. dacca; Musa ×sapientum, soit en russe (Bananier appétissant, Bananier de dessert, Bananier cultivé, Bananier cuisinier, Bananier de légume, Bananier de jardin ...). C'est un hybride des espèces Musa acuminata et Musa balbisiana, il atteint 8 m de haut. Sur les feuilles vertes de dimensions (200-250) × 60 cm il y a des taches brunes. Les fruits farineux jaunes sont comestibles en état vert comme les légumes et les fruits mûrs (acquis une douceur remarquable) comme les fruits.

On peut ajouter à cette liste le Musa ingens, et, ne dépassant pas 1 mètre de haut, le Musa coccinea de la couleur rouge vive, ainsi qu'un rang de variétés de taille différente du groupe Cavendish: «Dwarf Cavendish», «Giant Cavendish», «Lacatan», «Robusta», «Valery»...

Secrets de la culture réussie de Bananier

Il faut de la lumière vive, mais diffusée et, s'il vous plait, laissez à votre «pupille» une certaine partie de rayons directs de soleil, c'est-à-dire, ne faites pas l'écran trop dense.
L'arrosage en été doit être abondant (car les grandes feuilles vaporisent vite de l'humidité), mais en hiver il faut le réduire, ce faisant il faut toujours faire attention aux conditions du sol: il ne faut ni sécher, ni humidifier trop.

L'humidité relative modérée et même élevée de l'air ambiant est souhaitable, c'est pourquoi en été pulvériser les feuilles sans paresse, et en hiver les essuyer avec du chiffon mouillé (surtout si l'endroit du «stationnement» est frais).

En hiver la plage des températures les plus favorables est 17-20°С (15 minimum!). En été - 25-30°C, en plus il est utile d'organiser les aérations régulières à la plante ou sortir le pot avec la plante dans le jardin pendant la journée dans l'endroit chaud et ensoleillé.
Le sol recommandé est le limon riche en humus. On admet d'ajouter du terreau de feuilles. Compléter le mélange par des engrais pour les plantes feuillues d'intérieur ornementales : au printemps et en été - 1 une fois par semaine, en automne et en hiver - deux fois plus rarement.

La replantation est à faire au printemps. Prendre le nouveau pot de dimensions beaucoup plus importantes. Le munir par un bon drainage. Examiner un système racinaire, retirer soigneusement les zones pourries et secs, traiter les sections par un bio stimulant de croissance («Kornevine», par exemple). Les petites blessures résistent à peine le nouveau pourrissement - cela signifie, que le nouveau sol doit être humide, non pas mouillé, et la première semaine après la replantation ne pas'arroser du tout, et ensuite arroser avec précaution. Lors du premier mois toutes les semaines «fertiliser» de l'eau par un produit «Cirkon» (2 goutes par un verre).

On multiplie le Bananier par les rejets latéraux (plus souvent, parce que c'est facile) ou par les semences (moins souvent, parce que c'est plus difficile).

Difficultés éventuelles

Si vous supposez, qu'en hiver vous n'allez pas réussir d'assurer à votre «pupille» un éclairage parfait, coupez les feuilles à l'avance. Ne vous inquiétez pas: au printemps, dans le chaud sous le soleil elles pousseront de nouveau. Après avoir remarqué, que les feuilles jeunes percent à peine à travers les restes de la «tube», la déchirer avec précaution, ayant pour but de voir les pousses vertes fraîches et ouvrir leur chemin.

La croissance du «favori» se ralentit ou s'est arrêtée complètement - chercher la raison parmi les trois éventuelles: il a froid, il est serré dans le pot ou il n'a pas assez de lumière.

Si la température de l'air ambiant est assez élevée, mais l'humidité relative s'est «coincé» au niveau inférieur à ce qui est exigé, les bouts et les bords des feuilles vont sécher un peu.

A parti de la moitié du XXIIème siècle, quand les bananiers sont devenus un instrument d'obtention du profit commercial, ce qui a entrainé leur plantation de masse, on a détecté et on a étudié un rang de leurs maladies graves. Trois sont causées par les champignons végétaux:

- Fusarium oxysporum f. sp. cubense qui provoque soi-disant «la maladie de Panama», contre laquelle on n'a pas toujours trouvé un moyen efficace;

- Mycosphaerella musicola (Cerospora musae) - «sigatoka», les fongicides y font face avec succès;

- Mycosphaerella fifiensis var. difformis - «sigatoka noir», il se prête mal au traitement.

Et c'est la bactérie Pseudomonas solanacearum, qui est responsable de la quatrième. Elle s'appelle: «wilt bactérien» (la variante locale - «maladie moco»). Elle se manifeste par la désintégration des tissus végétaux.

La liste des ennemis volants et rampants, malheureusement, n'est pas courte: les aleurodes, les trombidions, les nématodes, les tétranyques, les charançons de riz, les thrips, les charançons noirs, les cochenilles diaspines. Si le traitement soigneux des feuilles et des tiges par une solution savonneuse n'aide pas, appliquez les acaricides (contre les trombidions), les insecticides (contre les insectes), les nématicides (contre les nématodes). Il n'est pas exclu, qu'il faudra 3 ou 4 séances de traitements. L'intervalle entre les traitements est 10 jours. Il est conseillé de ne pas seulement de pulvériser les troncs et les feuilles, mais en plus mettre un peu de la solution toxique dans le substratum, ainsi qu'essuyer le pot, la sellette (le rebord de fenêtre) et le vitre de fenêtre.

* * * *

NOTA №1. Retener, juste au cas où le mot «Abaka» (avec le troisième «а» accentué) c'est un synonyme du Musa textilis, qui est souvent utilisé dans les mots croisés.

NOTA №2. Dans la chair des bananes il y a du tryptophane. L'organisme humain est capable d'en créer la sérotonine, soi-disant «l'hormone du bonheur» chassant la fatigue et améliorant la tolérance au stress.

NOTA №3. La banane légèrement trop mûre est un produit «dangereux» car il augmente pour 20-30 minutes environ la teneur de l'alcool dans le sang à 0,22 pour mille.

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