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Les plantes d'appartement Caféier

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Description

Caractéristiques de Caféier

Caféier (Coffea) est un genre des arbustes et des arbres vivaces à feuilles caduques et sempervivantes, inscrit par les classificateurs dans la famille Rubiaceae composée de 124 espèces (sans synonymes!). (Les sources accessibles en russe pour une raison quelconque expriment des chiffres beaucoup plus modestes: «40 environ», «plus que 50», «presque 60». «Wikipédia» est le plus proche des autres, disant: «plus que 90».)

La végétation sauvage d'espèces différentes de Caféier est découverte dans quelques régions de la zone tropicale de l'Ancien Monde:

- en Asie continentale (principalement du Sud-est);

- à Madagascar et aux Mascareignes (Maurice, Réunion) dans l'océan Indien;

- en Afrique: en Sierra Leone, au Libéria, au Cameroun, au bassin du Congo ...

L'Abyssinie exige une mention spéciale (on appelait l'Éthiopie actuelle de telle façon avant la fin de la IIième guerre mondiale). Peut-être, tout le monde connait la légende sur un berger Kaldim de là-bas, qui ne pouvait pas dormir la nuit en automne de 850 ap. J.C. à cause des chèvres, ayant mangé trop de baies, de feuillage et/ou des branches de la plante mystérieuse. Le mot arabe «gahve» signifie «empêchant dormir», c'est soi-disant d'où on a formé le terme «café» accepté par la suite par «les visages pâles». Il y a encore une autre hypothèse déclarant son origine de la nomination de la province de Kaffa se trouvant sur le plateau d'Éthiopie vers le sud-ouest de la capitale Abyssinienne la ville d'Addis-Abeba («Nouvelle fleur» en traduction de la langue amharique).

Après avoir apprécié correctement la présence de caféine (une substance tonifiant magnifique) dans les feuilles, l'écosse et les fruits «de l'empêchant dormir», les gens malins encore en XIVième siècle ont amené cette plante de l'Afrique sur les sols d'Arabie du Sud (Yémen), pour la cultiver afin d'avoir le profit. Grâce aux commerçants inlassables et omniprésents, il a rapidement acquis sa renommée parmi les habitants de Moyen et Proche-Orient, et bientôt parmi les européens - et en 1753 un scientifique suède Carl Linnaeus, nommé par les contemporains instruits «Princeps botanicorum» (= «Premier parmi les botanistes»), a fixé dans sa classification le nom latin Coffea arabica (café d'Arabie).

Toutes les tentatives de cultiver cette plante dans les conditions climatiques européennes ont fait faillite: elle gelait inévitablement même dans les régions les plus au sud. L'opinion publique au début XVIIIième siècle a déclaré le café une boisson nocive (soit-disons, c'est à cause de lui, que les femmes deviennent stériles). Mais quelqu'un a livré les élèves du Caféier d'Arabie au Brésil... Actuellement le plus grand pays d'Amérique latine a concentré chez lui 443 milliard d'arbres (50% environ de la surface totale des plantations du monde entier).

Une grande importance économique permettant rivaliser de «l'arabica» (Non pas du tout sur un pied égal), appartient à deux type de Caféier:

- le Caféier robusta (Coffea canephora) ou «Robusta » ;

- le Caféier liberica (Coffea liberica), ou «Liberica».

Pour les semences on cultive encore trois espèces: Caféier Mocca, Caféier Haut, Caféier de Charrier (et ces dernières sont en petites quantités).

Et en qualité de «bien-aimé» domicile est une seule espèce Coffea arabica, ou le Caféier d'Arabie. Il est seul à arriver à survivre à des latitudes plus froides de la zone moyenne. Il est inscrit dans la catégorie à feuillage ornemantal, mais vous pouvez admirer également:

- et les fleurs blanches tubulaires à 5-pétales, sortant en 4-5 jours des aisselles des feuilles par les groupes admirables de 2-7 unités;

- et les baies rondes ressemblant aux cerises. Juste après la floraison elles sont vertes, ensuite elles deviennent rouge brune. Chacune comporte 2-3 «grains» durs.

Les feuilles sont vert foncé, avec la peau lisse, de forme large à 10 cm, ou ovale allongées à 15 cm de long, un peu ondullées sur les bords.

Le parfun des fleurs qui ne sont pas très petites (de 3 cm) peut rappeler le jasmin. Vous allez attendre leur première apparition 3-4 ans.

Mais les grains n'ont pas cette arome inoubliable, qui excite les amateurs du café, pour l'accumuler et émettre, il faut le climat tropical. A l'intérieur les baies mûrissent lentement en continuant être pendues sur leurs places pendant 3-4 mois, et ensuite ils sèchent. (Pendant qu'ils ne sont pas encore secs, allez-vous oser manger leur chair sucrée? Il est assez mangeable.) Un arbre adulte d'un mètre et demi de Caféier est capable de donner en année de récolte environ trois cents grains jaune gris vert (0,5 kg environ).

Dans la nature il atteint la hauteur de 3-6 m (8 m maximum) et se ramifie bien. Les branches placées par paires vont sur les côtés pratiquement horizontallement.

Sous le toit la taille finale est moindre: 1-3 m (4 m maximum). La valeur conrète dépend de la variété (il y a une variété naine «Nana» avec une hauteur limite de 70 cm, mais sa vitesse de donner les fruits est seulement 2-3 ans). La ramification est aussi ballonnée (le diamètre de l'arbuste peut atteindre presque un mètre). Le rythme d'allongement en haut est 5-10 cm par an (la croissance principale se produit, naturellement, au printemps et en été).

Il y a des variétés d'intérieur de Caféier, où les fruits mûrs «brillent», étonnent et enchantent par une couleur différente: rose clair, bordeaux, jaune, rouge vive ou cerisier foncé.

Secrets de la culture réussie de Caféier

Il faut avoir la lumière vive, mais dispercée. C'est-à-dire, en hiver il faudra ajouter de la lumière (même sur le rebord de fenêtre de sud), et lors de la saison chaude utilisez l'écran en gaze ou en tulle (une variante: un capuchon spacieux), protégeant des rayons directs de soleil. En l'appliquant, on peut tenir la fenêtre ouverte en grand en été ou sortir le «pupille» sur le balcon, dans la loggia, dans le jardin. Les rotations dans le plan horizontal assureront à la plante un meilleur apparat et la symétrie de la couronne. Mais si on n'a pas d'intention de payer pour sa beauté par la dégradation de la récolte des grains, ne pas changer trop l'orientation sur la source d'éclairage. Un bandeau coloré sur une branche quelconque peut aider le contrôler, avec ce « petit bracelet » remarcable le Caféier peut être transporté même dans la campagne. L'endroi en plein air doit être protégé de la pluie et des vents (autant plus des courants d'air).

Respectez l'amour à la chaleur de l'originaire des tropiques en lui assurant en hiver la température de l'air ambiant dans les limites de 18-22°С. D'autres «recommandations précieuses» pour la dormance (16-18, 13-17, et même 12-15 degrés Celsius) liées au risque peu justifié de voir sur les feuilles une bordure noire, précurseur de la destruction complète de la plante. Pour la période de végétation la plus efficace est une plage de 25-30°C. Le Caféier poussera même dans les conditions habituelles de l'intérieur (22-24°C), mais plus lentement.

A l'aide des pulvérisations régulières des branches (tous les jours en hiver, deux-trois fois par jours en été) avec de l'eau douce chauffée ou avec de l'eau reposée (sans chaux, c'est-à-dire sans les sels de calcium Ca) mentenir l'humidité relative de l'air ambiant sur le niveau élevé (au-dessus du modéré). Sans cesse dans telle situation (presque «de banane») il est difficile à vivre et pour l'homme, et pour la plante «capricieuse»: elle exige des aérations (et de nouveau sans courants d'air!). Et ce faisant il n'est pas exclu, qu'il faudra compléter les pulvérisations par:

1) la plongé du fond du pot dans l'argile expansée mouillée généreusement;

2) par la douche chaude hebdomadaire (mais pas dans la période de floraison!)...

Et voila un paradoxe: certains «super-jardiniers» (probablement, qui ont de la chance?) se mettent à faire les affirmations, que l'air sec peut être supporté par le Coféier «relativement bien»...

En hiver il faut modérer l'humidité de l'athmosphère et l'arrosage. En été il doit être abondant, mais il ne doit pas transformer le substratum en «marais»- sa couche extérieure entre les séances d'arrosage doit être séchée légèrement (mais un peu car le surséchage est innadmissible). Il faut garantir l'absence de la chaux dans l'eau utilisée et sa température à 2-3°C supérieure à celle de l'ambiance.

Le choix des recettes pour la préparation faite par soi-même des mélanges de sol est assez large:

1) de la terre herbeuse (de jardin), du terreau de feuilles, du sable en proportion 1 : 2 : 1;

2) de la terre herbeuse, du terreau de feuilles, du terreau, du sable - 4 : 2 : 1 : 1 ou avec les parts égales;

3) de la terre herbeuse, du terreau, du sable, de la tourbe (supérieur acide) - 2 : 1 : 2 : 1 ou (pour «les jeunes») 1 : 1 : 2 : 1;

4) de la terre herbeuse, du sable, du terreau - 1 : 2 : 1 ou avec les parts égales;

5) de la terre herbeuse, du sable, de la terre de tourbe -avec les parts égales;

6) du terreau de feuilles, de l'humus, du terreau, de la tourbe, de sable - 1 : 1 : 1 : 2 : 1;

7) du terreau, du sable, briquette de noix de coco- 2 : 1 : 1.

Il est important d'avoir une impérméabilité du sol pour l'humidité et l'air, est le plus important est l'acidité (pH dans la plage de 5,0-5,5). Régler cet indice, en ajoutant en portion de la cendre de brulûre du bois des essences feuillues (la concentration optimale est 1 bocal d'un demi-litre de cendre pour 10 kg de sol). Pour le stabiliser il faut 1 fois par mois ajouter dans l'eau d'arrosage de l'acide acétique (2-3 goutes par 1 litre), de l'acide citrique (3-4 cristales), de l'acide oxalique (0,2 grammes) ou du jus de citron (3-4 goutes). Voila un conseil à vérifier: de l'eau acidée par ces petites doses reste douce au goût.

Il faut comencer la fertilisation de la plante en fin du printemps, le faire 1 fois en 10-15 jours, arrêter en automne. Esseyer de la même fréquence d'appliquer en avril et mai de la poudre d'os riche en phosphore P ou du copeau de corne (à raison de 1 verre de thé pour 10 kg de sol) on dit, que grâce à cela il y aura une amélioration du développement et plus de fleurs. Chaque exemplaire adulte dans la période de la végétation active doit en total recevoir un litre d'eau minimum, où on dissout 5 grammes de nitrate d'ammonium NH4NO3 et 3 grammes de sel de potassium KCl. On peut altérer les engrais minéraux principaux énumérés avec des organiques, par exemple, avec du lisier (ou soupoudrez le cercle près de tronc par des excréments de vache secs). Le caféier a besoin aussi des microéléments, plus que d'autres du molybdène Mo.

Les conseils de replantation:

- prenant en compte que les racines sont bien développées, mais fragiles, il est préférable d'effectuer le transbordement très attentivement avec la motte de terre, qui est tressée par elles;

- il faut l'exécuter après la fin de la dormance, c'est-à-dire, tôt au printemps;

- à l'âge de 3-4 ans - chaque année;

- après l'âge de 3-4 ans - dans un an;

- «au géant», déjà transbordé pour l'habitation dans le cuveau, on va donner le neuf, quand l'ancien pourira, et avant que cela arrive, ajouter du sol tous les ans (ou changer sa couche supérieure);

- dans tout le nouveau vase organiser un bon drainage.

Le tallage de la courronne peut être amélioré par les procédures suivantes: le pinçage des jeunes tiges, l'élimination des rejets secs latéraux, le coupage soigné des rejets vivants. Ses résultats, les petites branches, peuvent servir des boutures pour la multiplication de pritemps.

Les boutures s'enracinent avec peine et se développent lentement (mais en recompense elles gardent mieux les indices et les propriétés de «mamam»). Il est plus simple de multiplier par les semences, pourtant, premièrement, elles doivent être récoltées récemment (la germination disparait très vite) et crues (pas cuites!), et deuxièmement, les élèves vont commenser à produire plus tard.

Difficultés éventuelles

La durée de vie du Caféier est petite. A l'âge de 8-10 ans il perd sa nature ornementale, car suite à la production fréquente les branches deviennent faibles et défeuillées. On a inventé un mode de rajeunissement: on coupe la courronne complètement au niveau de 8-10 cm de la surface du souvstratum. On attend la création de nouveaux rejets et peu à peu on en forme un nouvel arbuste.

S'il manque de la lumière (l'emplacement près de la fenêtre de nord ou l'ombragement excessif), la croissance du «pupille» se ralentit (s'il ne s'arrête pas complètement), et la fructification est inpensable.

A cause de l'éclairage trop vif les feuilles peuvent jaunir et se rider. Si on y voit des taches brunes (les secteurs avec du tissu mort), c'est l'échaudage qui a eu lieu.

La couleur des taches est brune, mais les bouts de feuilles se sont un peu roulés, on arrose avec de l'eau calcaire.

Les déviations du volume correct d'arrosage dans une des directions sont lourdes de la chute des feuilles.

L'humidité insuffisante de l'air ambiant - leurs bouts deviennent bruns et sèchent. La même chose arrive en cas du manque d'allimentation.

Si pH du sol est élevé à 7,0 (réaction neutre) et plus (réaction alcaline), les plantes refusent d'absorber du sol les éléments nutritifs, les feuilles sont décolorées, leur nécrose est possible (elles se couvrent pas les taches brun foncé, les bouts noirsissent).
Théoriquement la caféine contenue dans toutes les parties de la plante doit faire peur aux ennemis. Malheusement , que les blanches des serres, les tétranyques, les pucerons et les cochenilles diaspines n'en sont pas au courent, il parait. L'essuyage des feuilles avec de l'eau savonneuse peut prévenir leurs attaques (en même temps avec la pulvérisation fréquente).

Dans le voisinage proche avec une toute autre verdure d'intérieur, l'état général du Caféier se gâte brusquement - il a besoin de l'espace.

* * * *
ATTENTION! Les pessimistes disent, qu'il parrait que les grains des variétés domestiquées sont non seulement privées de l'odeur exitant, mais en général ne sont pas convenables pour la préparation d'une boisson tonique. C'est une erreur (pour ne pas dire: «bêtise»). Dans les grains proposés dans le commerce il y a considérablement moins de caféine, que dans deux qui seront apportés par le « pupille» d'intérieur. Quand il les apportera, ne pas manquer d'essayer et vous verrez vous-même.

Tout simplement il faut savoir par cœur et exécuter soigneusement toutes les opérations préliminaires technologiques:

1) extraire les grains des baies mûres;

2) les tremper dans l'eau pour 10-12 heures pour assurer le meilleur netoyage du mucilage;

3) sécher les grains sur l'air ambiant pendant 10 jours;

4) effectuer la fermantation par le séchage de 2-3 heures dans le four cahuffé à 70-80°С;

5) laisser refroidir les grains après le four;

6) les mettre sur le poel et faire revenir en remuant constemment jusqu'à l'apparition de la couleur régulière brun clair;

7) laisser refroidir les grains de nouveau après l'étuvage primaire - l'himidité restante et une partie d'huiles essentielles doivent en émaner;

8) faire revenir de nouveau- la couleur finale doit être brun foncé.

Il reste à moudre, faire du café - et prendre son plaisir!!

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