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Les plantes d'appartement Livistona

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Description

Caractéristiques de Livistona

Livistona est un genre d'arbres vivaces semperviventes de la famille Arecaceae = Palmaceae = Palmae couvrant 36 espèces, qui poussent dans les tropiques et les régions subtropicales d'Australie et d'Océanie, en Afrique et en Asie du Sud-est, aux îles Ryukyu japonais et en Chine continentale ... La nomination du genre est donnée (et enregistrée) en 1810 à l'honneur du propriétaire écossais Patrick Murray (1632-1671). Ses propriétés se trouvaient près de la ville Livingstone et comprenaient un grand jardin, où le maître a collecté plus qu'un millier de plantes en utilisant son amitié avec le Sir Andrew Balfour (1630-1694), botaniste assez connu à cette époque, médecin, collectionneur d'antiquités et de livres. Pourquoi dans l'impression latine le diagramme «ng» a disparu, quasiment personne ne sera en mesure d'expliquer maintenant - mais est-ce qu'il le faut?

Les épithètes différentes de l'espèce reflètent soit une dislocation originaire de l'organisme végétal, soit un autre détail dans son apparence, soit un nom du premier descripteur (parmi les européens), soit le prénom de la dame de ses pensées:

- Livistona australis;

- Livistona chinensis;

- Livistona chocolatina;

- Livistona eastonii;

- Livistona mariae;

- Livistona papuana;

- Livistona rotundifolia;

- Livistona speciosa ...

Dans une catégorie des plantes ornementanes on ne trouve que 3 espèces de Livistona (et elles y restent): la première, la deuxième et la dernière de celles énumérées ci-dessus.

En russe on entend souvent: «Livistona» - ou encore plus doux «Livistonia».

Livistona chinensis est aussi appelé «Latanier», et ses fruits bleu vert (au fait, très appétissants) - «les pommes de latanier». Il ne faut pas répéter les erreurs autant graves. Car Latanier est un autre genre de la même famille, qui se compose seulement de 3 espèces : le Latanier rouge (Latania commersonii), le Latanier bleu (Latania loddigesii) et le Latanier jaune (Latania verschaffeltii). Ils sont également les palmiers aux feuilles en éventail et sont aussi assez sympathiques (grâce à quoi ils peuvent se trouver «un abri» dans les orangeries où pendant toute l'année la température de l'air ambiant ne descend pas au-dessous de 18-20°C, mais leur taille est plus modeste (10-12 m), et le plus important c'est qu'ils sont très rares sur le globe terrestre. Par exemple, on ne trouve Latania verschaffeltii que sur l'île Maurice (à l'est de Madagascar dans l'océan Indien), où il s'est conservé en quantité supérieure à peine demi-millier exemplaires.

Le vrai Livistona chinensis dans son pays monte facilement le sommet de son gros stipe (40-50 cm de diamètre) à 15 mètres. Il développe les feuilles vertes, brillantes, avec les contours elliptiques généraux consistant de 50-60 (et même 80) segments. Leurs bouts incisés en longueur sont susceptibles, premièrement, fader, et deuxièmement, sécher malgré le soin correct. Sachez-le et soyez tranquille. Ne vous inquiétez pas, et ne vous précipitez pas à les couper - si non, le taux de séchage augmentera de telle manière, que bientôt (si le palmier sera encore vivant) la beauté ne sera que de tristes souvenirs.

Chez le jardinier instruit le Livistona chinensis déjà en 3 ans deviendra «une demoiselle attractive». Il est tout à l'avance en ce qui concerne la tolérance à l'ombre et n'a pas peur de l'air réchauffé modérément dans le local. Il sort des inflorescences à 120 cm.

Le Livistona rotundifolia est un peu moins populaire, mais il est ravissant en sa jeunesse, et en sa maturité. Dans le genre en description il est seul, qui aime les sols sableux. Les zones côtières des îles de l'archipel malais permettent à son stipe atteindre 14 m de haut. Ce faisant son épaisseur est à 17 cm. Les rejets d'un mètre et demi sortent du sommet (leurs bords sont à un tiers de longueur sont semés densément des épines), chacun porte une feuille verdâtre glisse arrondie fendue par les rayons de diamètre 100-150 cm. Les dimensions des grappes composées des feuilles jaunes ont les mêmes dimensions.

Livistona australis (un palmier d'éventail australien) démontre dans la nature un stipe en espèce de colonne d'épaisseur 30-40 cm, 20-25 m de hauteur. Il a un épaississement près de la base, il est couvert des restes et des traces des feuilles tombées. Les plaques rondes des feuilles vivantes (du dessus elles sont vert foncé, brillantes, et du dessous la nuance est un peu plus claire) de diamètre 1,5-2 m fendues à 60 et plus de segments avec les bouts à double incision. Les pédoncules de longueur de 1,5-2 m sont «armés» sur leurs bords par les épines denses, solides et pointues, bien voyantes grâce à la couleur brune, même presque noire souvent. La floraison sous le toit n'arrive pas souvent - embellissez votre attente en vous imaginant les inflorescences embranchées et allongées à 120-130 cm, qui se transformeront en grappes de baies brunes globulaires.

Livistona australis aime les pulvérisations fréquentes (comme si il se souvient de ses origines dans les forêts subtropicales humides de l'Est de l'Australie). Et dans le reste il a gagné une réputation d'une des espèces les plus robustes pour la culture de la maison.

Les informations sur la taille de 4-7 étages de Livistona en plein ne gênent pas ceux qui savent et croient qu'il est intelligent: après avoir remarqué le plafond au-dessus, il commence à aller sur les côtés, il n'essaye pas de le percer par sa «tête» (par exemple, la taille maximale de Livistona australis cultivé est 5 m, et plus souvent 3 m environ).

Conclusions: le local doit être spacieux.

D'autres «coryphées» proposent une interprétation complètement différente (pratiquement contraire): soi-disant, en sentant autour d'eux une large espace suffisante de vie, le Livistona de pot ou de cuve «fait le paresseux» d'aller en haut (dans la mesure qu'il ne forme pas de stipe du tout) et préfère de réaliser ses potentiels de la taille dans les feuilles.

Il est possible d'expliquer de différente manière, mais ce qui est important, c'est le fait: si vous le soigner bien, dans un an il donnera 3 nouvelles feuilles entières. Juste essayer de tous les moyens possibles de préserver son sommet d'une blessure (Cette exigence est nécessaire pour le développement réussi de la couronne dans toute l'espèce de la famille d'Arecaceae).

ATTENTION! Livistona a «une triste tradition» familière: la valeur ornementale est réduite par les bouts secs des feuilles (on l'observe, malheureusement, non seulement chez le Livistona chinensis). On croit que ce défaut peut être surmonté, si on stabilise la température de l'air ambiant dans une plage étroit de 16-18°C, on pulvérise les feuilles avec de l'eau tiède (ou avec de l'eau rendue douce par un mode chimique et reposée) et en plus on le lave souvent (surtout en été). Voulez-vous essayer- peut-être vous allez avoir de la chance? Si non et vous allez vouloir faire face à la laideur arrivant à l'aide de la coupe, à retenir:

1) il faut l'effectuer uniquement au début de la période de croissance et de développement - au début du printemps;

2) éliminer uniquement les feuilles, qui se sont séchées complètement (ensemble avec les pédoncules), et non pas à moitié ou partiellement, autrement les feuilles restantes vont commencer à se sécher au rythme accéléré.

Secrets de la culture réussie de Livistona

Il a besoin de la lumière vive, et en plus dispersée. Mais la plante ne va pas mourir de la quantité limitée des rayons directs du soleil. Alors, en été il faut choisir les alentours des fenêtres d'est et d'ouest (près des fenêtres de sud le midi il faut utiliser un écran protégeant contre la lumière), et en hiver - la pièce avec le meilleur éclairage dans la maison.

Pour éviter la création de la couronne à un seul côté et lui assurer le développement régulier (circulaire), tourner à la source de la lumière tous les côtés du «chapeau» au tour des rôles, c'est-à-dire, de temps en temps tourner le pot ou le cuve dans le plan horizontal, ce faisant tacher orienter la jeune feuille par son sommet vers le fond de la pièce.

Les températures d'entretien de cette plante de sud, ce qui est étonnant, ne sont pas élevées: la plage d'été est 16-20°C, et celle d'hiver - 14-18°C (mais pas moins que 12°C). Les séances de l'aération fréquente sont utiles (mais, bien-sûr, pas les courants d'air) et «les sorties» (dès le mai) de la pièce sur le balcon, sur la terrasse est dans le jardin.

L'amour de Livistona à l'humidité relative élevée de l'air ambiant est à «parer» par les pulvérisations (2 ou 3 fois par jour). Laver les feuilles par la douche (hebdomadaire) ou au moins les essuyer avec du chiffon mouillé (option: avec de l'éponge). En octobre-février (lors de la «dormance») on admet d'effectuer moins souvent les pulvérisations et les lavages.

Mettre le pot (cuve) avec le palmier sur la cuvette. En été arroser le sol, avec de l'eau à 30 degrés de la manière abondante dès que sa couche visible se sèche; ce qui va se pénétrer dans la cuvette, doit être éliminé dans 2 heures. Pour le mois de juin-août dans la zone moyenne et les régions vers de nord l'arrosage de matin «dans un flèche» par un jet fin, mais long est efficace. En hiver il faut réduire le volume, mais de nouveau vous orienter par l'état de la terre (toute la motte ne doit pas sécher, laisser sécher uniquement sa partie supérieure), et évacuer de l'eau en trop de dessous de la même fréquence.

Lors de toute la période de végétation fertiliser «la beauté» par les engrais minéraux 1 fois par 7 (maximum 10) jours. Uniquement un débit intense des éléments nutritifs peut lui assurer une bonne vitesse de croissance, c'est pourquoi les conseils de type «Si le palmier habite sous le toit et non seulement en plein air, il lui suffit de le fertiliser 2 fois par mois, et en hiver il ne faut pas le fertiliser du tout» n'ont pas l'air sage. Beaucoup plus précieux sont les suivants (car ils prouvent les résultats):

- du printemps à l'automne toutes les 2 semaines il faut ajouter en supplément de l'engrais minéral un egrais pour les fleurs avec les microéléments (ou un engrais complexe spécial pour les cultures ornementales à feuilles);

- lors de la dormance il est autorisé de réduire la fréquence de la fertilisation à 1 fois par mois;

- tout l'engrais doit être appliqué «sur le sol frais» (c'est-à-dire lors de l'arrosage ou juste après).

Les palmiers en général supportent mal la replantation, car inévitablement elle dérange leurs systèmes racinaires. C'est pourquoi certains spécialistes recommandent la limiter par le transbordement et effectuer uniquement dans les cas où les racines de Livistina sont serrées dans leur ancien pot (elles ont commencé à percer les trous de fond).

D'autres experts proposent un planning strict des replantations:

- «les jeunes» - chaque année;

- à l'âge de 4 à 6 ans- avec une pose de 2 (ou même 3) ans;

- les exemplaires plus âgés - une fois par cinq ans, mais chaque année il faut changer la couche supérieure du sol.

Pour la procédure il faut choisir une journée de printemps en avril ou en mai. Inspecter le système racinaire. S'il a poussé principalement en bas, le nouveau pot doit être plus profond. Si sur les côtés - plus large. Les fragments pourris doivent être coupés avec précaution. Il faut mettre les racines saines longues sur le cercle le long des parois de nouveau pot. Sur son fond il faut organiser une bonne couche de drainage.

Ci-dessous vous trouverez les recettes de la préparation du substratum (si vous n'achetez pas celui-ci spécial pour les palmiers):

- pour les jeunes plantes;

1) de la terre herbeuse (légère), du terreau, du terreau de feuilles, pris par les parts égales;

2) la même chose plus du sable - 1 : 1 : 1 : 1;

- pour les adultes:

3) de la terre herbeuse, du terreau, du terreau de feuilles, du sable en proportion 2 : 1 : 1 : 1;

4) de la terre herbeuse, de la terre herbeuse lourde, du terreau, de l'humus (ou du terreau), du sable - 1 : 1 : 1 : 1 : 1;

- indépendamment de l'âge:

5) de la terre herbeuse, du terreau de feuilles, de l'humus, du sable en proportion 1 : 1 : 1 : 1;

6) de la terre herbeuse, du terreau de feuilles, du sable - 2 : 2 : 1;

7) da la terra argileuse-herbeuse (légère), du terreau de feuilles, de la tourbe, du fumier pourri, du sable - 2 : 2 : 1 : 1 : 1, ajouter (des pincées) du charbon de bois, de l'argile expansée, du gravier.

L'acidité du mélange de sol est faible ou neutre (pH = 5,0-7,0).

L'arrosage en première moitié du mois après la replantation doit être réduit (si lors de la replantation il y a eu un endommagement insignifiant des racines, pour que la pourriture ne «s'accroche» pas aux secteurs endommagés).

Le Livistona mûre d'intérieur peut avoir des rejets, grâce auxquels le bas de son stipe commence à ressembler de l'apparence à un arbuste. Si lors de la replantation on arrive à séparer soigneusement ce rejet dans endommager le système racinaire, l'utiliser pour la multiplication.

Le mode alternatif de la multiplication, par les semences, se réalise au mois de février ou mars. D'abord il faut qu'ils se gonflent toute la journée dans l'eau à température 30-60°C, et ensuite à 20-25°C poussent sur la lumière. Après avoir plongé à 1 cm maximum quelques rejets dans une jatte large avec le substratum humide chauffé, attendre 3-4 mois. Quand les levées apparaissent, espacer les élèves (avant que leurs racines ne se tressent pas) dans les pots séparés, offrir aux amis et aux connaissances. À l'écoulement de deux ou trois ans chacun ayant reçu ce cadeau aura son propre Livistona, la belle, à la maison!

Difficultés éventuelles

Si le pot est trop grand, et le drainage est insatisfaisant, de l'eau dans la motte de sol va stagner, en menaçant par la pourriture des racines et l'apparition des taches brunes sur les feuilles.

Une perturbation du mode de fertilisation provoque le manque des éléments nutritifs, et il se transforme en ralentissement du développement général de Livistona et un éclaircissement fort (un jaunissement) des feuilles.

Elles peuvent jaunir encore également à cause de l'arrosage insuffisant.

A cause du séchage du sol et/ou de l'air les feuilles se couvrent pas les taches, se laissent abattre et fanent sans terme.

C'est la température basse de l'entretien qui peut être coupable de leur flétrissure.

Sa chute brusque (on a oublié de fermer le battant à bascule après l'aération) «va embellir» le feuillage de nouveau par les taches brunes laides.

Les ennemis actifs vivants de Livistona sont les aleurodes, les blanches des serres, les tétranyques. Et les pucerons et les cochenilles diaspines sont capables de l'affecter même en hiver dans les locaux frais. Pour la prophylaxie essuyez les feuilles avec de la tisane de camomille ou de la solution de savon vert (à la concentration faible vous pouvez ne pas le laver ensuite de l'eau propre).

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